Le jeudi 03 Août 2017 à la Tour E de la cité administrative au Plateau, s’est tenue une réunion qui a vu l’installation du Comité Technique du Conseil National de Lutte contre la Vie Chère sous la présidence du Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba.
Le Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba a installé officiellement ce jeudi 03 août 2017 à Abidjan, le Comité Technique du Conseil National de Lutte contre la Vie Chère (CNLVC).
Le Comité Technique, organe de réflexion stratégique présidé par le représentant du Ministre du Commerce, est composé de 23 membres. Il s’agit d’experts de haut niveau des ministères impliqués dans la mise en œuvre des mesures et actions du Gouvernement et de personnes ressources issues du secteur privé ainsi que d’organisations de défense des droits de consommateurs et d’associations de commerçants.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba a demandé au Comité de veiller à la mise en œuvre effective des mesures prises par le Gouvernement dans le cadre de la lutte contre la vie chère. Il s’agit, entre autres, de faire des recommandations au Gouvernement sur les questions relatives à la hausse des prix et à l’approvisionnement du marché en produits de grande consommation en général, et des produits de première nécessité en particulier; de veiller à la mise en œuvre effective des mesures prises par le Gouvernement dans le cadre de la lutte contre la vie chère.
Le but est aussi d’assurer une veille permanente sur les prix des produits de grande consommation ainsi que sur la disponibilité de ces produits sur toute l’étendue du territoire national, d’assurer le suivi du respect des accords signés entre le Gouvernement et les opérateurs économiques dans le cadre de la lutte contre la vie chère, de suggérer des réponses aux propositions des associations de consommateurs liées à la vie chère, etc.
Le Ministre a rappelé et prévenu par ailleurs qu’après le 12 août, tous les commerçants qui ne respecteront pas les prix plafonnés se feront infliger des sanctions notamment une amende de 1 à 50 millions FCFA, la saisie des marchandises et la fermeture des magasins.
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